Déborah, bio-énergéticienne
Travailler sur soi, pour Déborah tient d’une véritable exploration. Pour la bioénergéticienne, se connaître passe par la prise de conscience que l’être humain se déploie dans plusieurs dimensions. « Nous sommes pleins de potentiels, multiples. Travailler sur soi, c’est se découvrir et développer ces potentiels, détaille-t-elle. Nous sommes chacun responsable de notre réalité. En y travaillant nous pouvons changer les choses, de façon profonde ».
Il s’agit donc d’un cheminement qui commence par interroger l’avant. « En allant explorer nos racines, ce qui vient de nos ancêtres, cela permet de dénouer, d’accepter et ainsi de rendre fluide ce qui était jusque-là bloqué, limitant nos possibilités. » Comme une blessure qui se cicatrice, être en paix avec le passé permet de reprendre son chemin de vie plus sereinement. Pacifier le mental, en faire un allié plutôt qu’un saboteur est une étape clé qui permet de dépasser les croyances limitantes. L’exploration emmenée par Déborah va plus loin encore : « Cette exploration de ce que l’on appelle le causal s’adresse à ce qui est plus grand que nous : l’énergie du groupe, celle de la nature, etc ».
Méditation, recentrage, visualisation, technique de geobiologie sont les outils de prédilection de Déborah. « C’est une aventure collective et individuelle. Si chacun vient avec une intention très personnelle, une problématique précise, le groupe constitué de 6 personnes maximum, pose également une intention pour le groupe. Cette double intention porte ! »
Dès le 22 août, un cycle de 8 sessions s’ouvre. « Cela s’adresse à toute personne désireuse de travailler sur elle, d’apporter une transformation intérieure et extérieure », précise-t-elle.